Le grand moment est enfin arrivé. La saison 2021 de MotoGP a commencé le 28 mars avec le classique Grand Prix de nuit de Losail, au Qatar. Afin que vous soyez d’attaque, des réponses en fonction des questions que vous vous posez sur le MotoGP ont été prévues.
Comment ça marche ?
Chaque Grand Prix se passe sur trois jours en trois grandes phases : des essais libres, des sessions de qualifications et pour terminer la course. Au moment du commencement de la course pour une durée de 45 min pour environ 115 km-les pilotes sont placés en rangées de trois. Et l’ordre de la grille de départ est déterminé par le rangement dressé durant les séances de qualifications.
Tel que pour la Formule 1, le rangement du MotoGP marche en fonction d’un système de points. Le gagnant est celui qui en entasse le plus pendant la saison, tout aisément. En course, durant les qualifications ou les essais, la non-suivie du règlement risque des sanctions qui peuvent avoir des retombées sur le classement.
Pourquoi les pilotes sortent leur jambe lorsqu’ils ralentissent ?
Non, il ne s’agit pas de freiner la moto avec leur pied, bien sûr. Bien qu’il existe les normes de sécurité, la semelle de la botte ne supporterait pas beaucoup le frottement contre le bitume, etc. On clarifie ce geste de diverses manières : pour quelques pilotes, sortir la jambe permet de réaliser une prompte modification de gravité de la moto.
Le concept ? Perfectionner l’équilibre au ralentissement afin de mieux braquer. Le deuxième motif énoncé est beaucoup plus aisé : quelques pilotes le réaliseraient juste pour s’offrir un style. On vous donne l’occasion de l’examiner.
Ce n’est pas trop menaçant ?
Ainsi oui, à une telle vitesse, on imagine obligatoirement la menace que de courses pareilles constituent et aux accidents-quelques-uns mortels qui surviennent souvent. Qui n’a jamais observé un pilote de MotoGP tomber lourdement en raison d’un virage mal pris et crouler au sol sur des dizaines de mètres ? Afin de restreindre cette menace, des normes de sécurité ont été élaborées à travers les années.
Si les motos ne présentent aucun système de sécurité pour le conducteur à part une coupure du moteur si utile ou le montage de pneus spéciaux en fonction de la route, ce n’est pas la situation de la tenue des pilotes. La combinaison doit spécifiquement être dotée d’un système d’airbag qui enveloppe au moins la clavicule et les épaules. Une protection arrière centrale ou entière est facultative.